Selon une délégation religieuse en visite à Jérusalem, la cause principale du conflit au Liban a été l'impossibilité de résoudre la question israélo-palestinienne. Suite à une trêve négociée aux Nations Unies entre Israël et le Hezbollah, la délégation mise en place par le Conseil oecuménique des Eglises a également exhorté toutes les parties à revenir à la table des négociations "sans que quiconque en soit écarté en ayant été désigné à l'avance comme des terroristes". Menée par le président de la Conférence des Eglises européennes, le pasteur Jean-Arnold de Clermont, la délégation a déclaré que toute négociation devait inclure "la reconnaissance de l'importance d'un Etat israélien et d'un Etat palestinien sûrs dont les frontières seraient reconnues au niveau international".
le 15 août 2006
eni