Cette question est venue sur le tapis lors de l'assemblée plénière de la Conférence Annuelle (CA) de l'Eglise Evangélique Méthodiste (EEM) Suisse/France.
Sigmar Friedrich, pasteur à Urnäsch, faisait référence à une phrase figurant dans l'introduction du rapport de la commission pour les questions théologiques et ecclésiales (commission 2). "Cela nuit au processus démocratique, quand une commission présente son opinion comme étant partagée par tous," faisait remarquer Friedrich. Il serait souhaitable, comme le déclare Friedrich, que la commission fasse valoir ses convictions comme étant les siennes et contribue ainsi à ce que la base exprime à son tour son avis.
L'évêque Heinrich Bolleter - l'auteur même de l'introduction - précisait : "A l'intérieur de l'Eglise, la commission parle en son propre nom. Dans les communications publiques et les prises de position à l'égard de tiers, il est important et même nécessaire de parler de la part de l'Eglise, au cas où les délégués à la Conférence CA n'en auraient pas pris l'initiative.
1er juin 2002
Source: EEMNI