Paraphrasant André Frossard, auteur de "Dieu existe, je l'ai rencontré", les femmes de l'EEM Genève peuvent maintenant dire: les Samoanes existent, nous en avons rencontré une.
Chacune/chacun sait, ou devrait savoir, que cette année, ce sont les femmes de Samoa qui ont préparé la liturgie de la Journée mondiale de prière (JMP) du 2 mars prochain.
Mais encore ? Les femmes EEM de Genève ont voulu en savoir plus. Mais où dénicher une Samoane pouvant leur parler de son pays ? L'une des Genevoises, qui avait été membre de la Commission oecuménique gérant une partie de l'argent récolté lors de la JMP pour accorder des bourses d'études à des femmes d'outre-mer, s'adressa à la secrétaire de cette Commission, elle-même ancienne missionnaire en Polynésie (Pacifique).
Oui, à sa connaissance, il y a une seule Samoane en Suisse, une ancienne boursière de la JMP, dont le mari, un pasteur samoan, enseigne à l'Institut oecuménique de Bossey, près de Genève. Rendez-vous fut pris aussitôt, une rencontre s'ensuivit et Mme Tansala Talapussi accepta très aimablement de venir parler, en français, aux femmes EEM.
Du coup, l'assistance à la soirée bondit au double de la fréquentation habituelle et 5 femmes d'autres églises, membres du comité local de la JMP se joignirent aux femmes EEM pour une rencontre très chaleureuse. C'est donc bien informées et fortement motivées par cette rencontre véritablement unique que les femmes de Genève-Onex vont participer à la prochaine Journée mondiale de prière.
Source: Frédy Schmid / 25.02.01
EEMNI - 01.03.2001